Le nombre de PPRT prescrits a sensiblement augmenté, en effet, mais nous savons très bien que la transition de la prescription à l'adoption sera extrêmement longue. Le blocage se situe au niveau des conventions de délaissement. Sur le terrain, il apparaît que, comme l'État n'est pas en mesure d'assumer la part de financement qui lui revient, il a abandonné les prescriptions au profit des « recommandations ». Avez-vous des informations à ce sujet ?
Votre proposition de relever le plafond du crédit d'impôt à 20 000 euros constitue une avancée et votre amendement mérite d'être voté par notre assemblée, même si, avec 20 000 euros, on est parfois loin du compte.