Aujourd'hui, la direction de l'IFP-EN justifie ses décisions, notamment celle de quitter sa base historique de Pau, par la baisse des dotations de l'État. Il faut réexaminer avec elle les conditions de sa présence dans les régions, sa capacité à mobiliser les pôles de compétitivité, notamment les deux qu'il anime – dans la région lyonnaise et en Aquitaine. L'IFP-EN doit-il être l'opérateur de référence pour mener à bien la politique du renouveau énergétique ?