Laissez-nous parler, mes chers collègues. Parlez pour vous, mais ne pensez pas à notre place.
La réflexion que nous menons sur la familialisation, le quotient familial ou le crédit d'impôt est un débat très difficile d'un point de vue technique. Il nous faut encore affiner les choses. C'est notre problème, pas le vôtre. Assumez vos divergences.