Certes, mais il faudra y être attentif car le but des investissements d'avenir est de produire un effet de levier, et non un jeu de chaises musicales. D'où l'utilité du suivi assuré par l'ANR et l'AERES.
Cela pose d'ailleurs la question des préciputs. En effet, dans le cadre de l'accompagnement des Labex et des Equipex, on peut se demander si la partie du laboratoire qui bénéficie de l'investissement d'avenir ne doit pas contribuer au fonctionnement global de la structure de recherche.
Nos économies sur la partie des organismes de recherche se montent à 37 millions d'euros. Je vous rappelle que l'apport financier des investissements d'avenir s'élève à 1,2 milliard d'euros en 2012.