Notre collègue Christian Eckert a eu raison de revenir sur la crise financière de 2008 dont l'épisode Dexia que nous vivons actuellement n'est que l'un des soubresauts.
Tous sur ces bancs, en tant que parlementaires, nous vivons ces interrogations, et pas seulement depuis cet après-midi. Nous ne sommes que le relais de nos concitoyens qui s'interrogent sur la gestion de ce pays, sur sa situation dans le monde, et sur nos responsabilités collectives face aux dérives du monde financier.