Chacun s'accorde pour considérer que le nucléaire ne souffre pas l'approximation. L'opinion publique est désormais consciente que la sûreté nucléaire n'est pas un problème français, qui pourrait se régler au niveau national, ou européen, mais mondial. Dès lors, quelles sont les démarches faites pour la constitution d'une agence de sûreté nucléaire mondiale ?
Les retards relatifs aux EPR de Finlande et de Flamanville sont-ils imputables à cette obsession, très louable, de l'accroissement de la sûreté ou, au contraire, à des plans qui n'avaient pas été suffisamment étudiés ? L'échec d'Abou Dhabi ne pourrait-il être exploité pour rendre l'Équipe de France plus performante ? Et pour que les réponses aux appels d'offre soient davantage axées sur la sûreté ?
Quelles sont les conséquences du lissage des investissements sur l'emploi, pour lequel vous nous avez démontré que la filière nucléaire était particulièrement porteuse ?
Enfin, sortir du nucléaire : à quel prix ?