Monsieur le Président, comment appréciez-vous la position de M. El Baradei, prix Nobel de la paix en 2005, qui préconise notamment des audits obligatoires des centrales – ce qui n'est pas le cas actuellement, des audits internationaux – ce qui voudrait dire que la sûreté ne relèverait plus de la souveraineté nationale, et la mutualisation internationale des expertises ? Deuxième question, M. El Baradei propose de régler le problème des déchets ultimes en les entreposant dans deux ou trois pays seulement, et il avance le nom de la Russie. Est-ce réaliste ?