Nous ne proposons pas une révolution, et le ministre l'a bien compris. C'est une avancée de la transparence dans ce qui est aujourd'hui un imbroglio total. Nous ne le vivons pas comme un cadeau à la gauche ; je pense que nous défendons les uns et les autres les personnes qui se trouvent dans cette panade depuis trop longtemps et en héritent de génération en génération. Je remercie le ministre de son ouverture. La situation crée exaspération et anxiété, de nombreuses personnes n'arrivent plus à vivre dans une telle situation, sans savoir à qui parler pour essayer de se débarrasser d'un tel fardeau.
(L'amendement n° 186 est adopté.)