Je suis même à peu près persuadé du contraire.
Vous avez toujours, en effet, souhaité une réponse législative sur la pratique et sur la politique du médicament. Or vous demandez le rejet du texte, ce qui est d'autant plus paradoxal que vous vous êtes félicitée que ce projet de loi arrive devant l'Assemblée nationale.
Vous avez posé des questions ; vous avez fait des propositions. Soit. Nous allons donc vous écouter, et pour cela il nous faut un débat : nous ne pourrons donc que voter le rejet de cette motion.
Il faut qu'à l'instant même, nous nous engagions à restaurer la confiance des patients, qui nous écoutent, nous lisent, nous regardent et qui, aujourd'hui encore, doutent. Suite à ce drame, il faut agir vite. (Applaudissements sur les bancs du groupe UMP.)