Je suis étonné que l'on passe plus de dix minutes sur ce sujet. Je crains que nous ne soyons dans l'excessif et que nous n'ayons affaire à des ayatollahs de la transparence : il faudrait laver plus blanc que blanc !
Si l'on reprend la comparaison évoquée par notre collègue Yves Bur de la commission des affaires sociales, nos auditions en commission sont publiques ou peuvent être filmées.
Ce qui est important, ce n'est pas ce qui se dit au sein du groupe de travail, mais la décision prise par la commission. Celle-ci doit être transparente. Je crois qu'il ne faut pas alourdir les choses, ce serait totalement contreproductif. L'objectif de l'article 1er, c'est la transparence des liens d'intérêts. Les travaux de la commission seront rendus publics avec l'objectif que ses décisions soient totalement transparentes.