Notre position a toujours été claire : nous sommes contre l'exploitation mais nous estimons qu'il est irresponsable, par égard pour les générations futures, de refuser de connaître la réalité de notre sous-sol. Aujourd'hui, nous ne parlons que sur du vent : nous ne savons pas s'il y a réellement des gaz et huiles de schiste dans notre sous-sol et, en tout état de cause, si ceux-ci sont exploitables.