Qui va payer pour la dépendance de ces femmes qui auront travaillé toute leur vie à temps partiel ?
La réalité insupportable à laquelle renvoie cette question n'est aucunement perçue à l'heure actuelle ; elle ne l'est ni par rapport à la situation présente ni par rapport à la situation que nous prépare l'avenir.
Je suggère que dans les six mois restant, nous nous interrogions sur les moyens à mettre en oeuvre pour susciter une véritable prise de conscience de la part de nos dirigeants. Quelle stratégie mettre en place pour faire apparaître le caractère crucial de ce problème ? Comment populariser cette question qui est mal appréhendée par la classe politique mais aussi par la société toute entière ?
L'enjeu est là : faire en sorte que ce problème crucial soit mieux perçu.
Qui pourrait être notre porte-parole, notamment dans les médias ?