M. Joyandet a parfaitement expliqué la situation dans laquelle nous nous trouvons. Il faut se rappeler les montants que l'État a prêtés aux constructeurs pour leur permettre de se maintenir hors de l'eau. Il serait dommage de les faire replonger dans la nasse dont on les a sortis.
Les trois quarts des pièces détachées sont fabriquées en France : si, demain, elles sont produites à l'étranger, c'est encore une partie de notre savoir-faire industriel qui partira à l'étranger. Nous n'avons vraiment pas besoin de cela actuellement.