Monsieur Dionis du Séjour, vous pourrez vous exprimer. Je parle ici de la France.
Et je n'y connais pas d'exemple de fichage de 25 millions de personnes. Je n'imagine pas que nous puissions balayer d'un revers de main l'avis de la CNIL sur une question aussi importante, qui touche aux libertés publiques, quand on sait les débats auxquels donnent lieu les fichiers dans notre pays.