Toute notre argumentation est aujourd'hui corroborée par la Cour des comptes, qui annonce une inflation du nombre de dossiers de surendettement. Je crois donc qu'il y a lieu, malgré cette loi votée dernièrement, d'enfoncer le clou, si je puis dire, pour que des personnes vulnérables ne se fassent pas encore piéger. Nous disposons de chiffres très concrets qui nous incitent à demander la création d'un garde-fou supplémentaire à la faveur de l'examen de ce texte.
(L'amendement n° 180 , repoussé par la commission et le Gouvernement, n'est pas adopté.)