Certes, mais il y a aussi une question de proportion, cher collègue !
Monsieur le secrétaire d'État, la situation ne pourrait-elle être améliorée ?
Le site d'Oradour est en fait constitué de ruines. Or, alors qu'il appartient à l'État, c'est la responsabilité du maire qui est engagée ! Cette situation ne peut perdurer. Peut-être faudrait-il raser une partie de ces ruines. En tout cas, la partie qui ne le sera pas doit être restaurée. Même si elle ne relève pas forcément du budget des anciens combattants, je sais le secrétaire d'État sensible à cette situation qui relève de l'urgence.