Vous m'avez fait une réponse qui était aussi désobligeante que la remarque que je viens de faire. Pardonnez-moi, mais nous sommes au coeur du sujet, et cela concerne 4 millions de Français qui sont des précaires énergétiques, des consommateurs qui, ne peuvent plus se chauffer aujourd'hui ! Si vous me dites que ce n'est pas le moment d'en parler, alors que nous examinons un texte relatif à la consommation, c'est que – pardonnez-moi de vous le dire en ces termes – vous êtes à côté de la plaque !