Merci, monsieur le secrétaire d'État, d'avoir pris en compte ce problème, car le doublement du taux légal est en effet insuffisant, d'autant que certains consommateurs ont par ailleurs recours à des crédits à la consommation qui sont à des taux beaucoup plus élevés. Il faut donc au minimum arrêter un taux qui se rapproche des taux auxquels sera soumis le consommateur sur la période. 10 % représentent vraiment un minimum, même si, aujourd'hui, on trouve des crédits à la consommation à des taux moins élevés qu'à une époque.
Gardons également à l'esprit que la majorité des cas se règlent avant un an et nous parlons là d'un taux immédiat. Nous pouvons donc accepter de le fixer à 10 %.