Même avis, le débat en commission a permis de trouver le point d'équilibre entre les exigences de protection du consommateur, renforcées lorsque la sollicitation téléphonique est du fait du vendeur, et la nécessaire fluidité dans l'exécution des commandes passées par le consommateur lui-même.
Le problème de cet amendement est qu'il soumet toutes les ventes conclues par téléphone au régime applicable en cas de démarchage téléphonique, y compris celles qui sont à l'initiative du consommateur. C'est le point de divergence avec la solution qui a été retenue après le débat en commission.