Ces constatations nous ont conduits à retenir trente ans comme la durée de vie longue d'une résidence secondaire. Les durées choisies ne l'ont donc pas été « hors-sol », sans contact avec la réalité de la vie de nos concitoyens. Nous avons raisonné à partir des transactions telles qu'elles sont constatées aujourd'hui pour mettre en place un régime de taxation fondé sur les comportements des Français.
Quant au problème de la pente, nous l'avons évoqué pendant une longue réunion du groupe de la majorité présidentielle de la commission des finances…