Je voudrais faire trois observations à nos collègues socialistes.
Première observation, vous essayez de faire croire à vos électeurs – même si, sur le fond, vous n'en croyez pas un mot – que les graves difficultés qui marquent la situation budgétaire de notre pays ne sont pas dues à la crise, mais entièrement à la politique menée par l'actuel président et par son gouvernement.