Je vais y venir, monsieur Bapt.
S'agissant de la politique du médicament, je vous ai dit ce que j'en pensais ; à mon avis, les évolutions réglementaires vont permettre de dessiner une nouvelle politique du médicament. Par ailleurs, j'ai lu avec attention le rapport de la Cour des comptes.
Monsieur Lefrand, la prescription en dénomination commune internationale (DCI) est peut-être difficile, mais le moment est venu de l'inscrire dans la loi ; on en précisera dans un second temps les modalités. Je rappelle que Mme Lemorton militait depuis longtemps en ce sens, malgré les réticences de certains et, comme me l'a fait remarquer M. Gérard Bapt, si le Mediator® avait été prescrit en DCI, les choses se seraient vues plus facilement.