Je ferai à mon tour trois remarques. Tout d'abord, il convient d'observer que tous les pays étrangers qui mènent une politique active et volontariste en matière de sécurité routière affichent souvent l'objectif de « zéro mort ». D'autre part, il faut être bien conscient que les radars ne peuvent pas tout faire. Installer des radars, à partir de l'année 2002, c'était lutter contre les indulgences, faire cesser les gros délits en matière de vitesse, etc. Mais aujourd'hui cette politique commence à trouver ses limites. D'où ma troisième remarque : il faut des actions désormais très diversifiées et un mixage de différentes mesures.