Les statistiques en matière d'accidentologie ne sont pas si sûres que cela. Notamment, on sait très mal évaluer la part de chaque cause lorsqu'on a affaire à un accident à causes multiples. Il est donc difficile d'avoir une répartition très fiable entre les différentes causes de l'accidentologie et, a fortiori, d'avoir des avis tranchés sur telle ou telle cause, qu'elle vienne, soit disant, en première ou en seconde position. Et cela est d'ailleurs très ennuyeux, y compris pour les campagnes de communication. Car si l'on se trompe sur la nature des causes, on se trompe sur la communication.