Nous en sommes tous conscients. Le vrai choix n'a pas encore été fait – accepter ou refuser le défaut de la Grèce. Le sommet du 21 juillet n'est qu'un entre-deux. Il faut prendre conscience que le défaut de la Grèce n'est pas la solution de facilité que certains croient, ni pour les Grecs, ni pour les autres peuples d'Europe. En effet, les investisseurs ne feront pas de détail au sein de la zone euro : dès lors que l'un d'entre nous fera défaut, tout le monde deviendra suspect.
Je suggère que le Bureau de la Commission se rende en délégation auprès de M. Baroin puis rende compte à la Commission. Tous les groupes seraient ainsi informés.