L'accord du 21 juillet demande aux créanciers privés de geler leur niveau d'engagement vis-à-vis de la Grèce par le biais de nouvelles obligations ou d'opérations d'échange, en constatant au passage la moins-value de 21 %. Je suis tout à fait d'accord avec vous : en 2010, l'endettement public est venu se substituer à l'endettement privé, et des créanciers privés, y compris des institutions européennes, se sont désengagés. Mais depuis l'accord du 21 juillet, ce mouvement est stoppé.