En effet, il y a les contrats de recherche. Mais il y a aussi les appels d'offres internationaux dont la France est hélas exclue en raison d'une trop grande dispersion empêchant ses universités d'atteindre une taille critique qui leur permettrait, par exemple, de répondre à un appel d'offres de la Banque mondiale. La situation devrait changer avec la mise en place des PRES.