À propos du temps diplomatique, je reviens sur une évidence que j'entends souligner avec force : lorsque le Président de la République a pris l'initiative de recevoir et d'écouter avant de décider qu'il fallait soutenir le CNT, la France apparaissait singulière : exemplaire pour les uns et au bord de l'initiative pour les autres. Aujourd'hui, grâce au travail du ministre d'État, plus de trente pays reconnaissent le CNT.