J'ai même la conviction inverse. Cela ne signifie pas que nous n'ayons aucun progrès à réaliser dans la construction d'une politique de sécurité et de défense commune en Europe. Il est vrai que, dans ce domaine, de nombreuses réticences subsistent, sans oublier la lenteur – vous connaissez le processus que nous avons engagé avec nos amis allemands et nos amis polonais : au cours du prochain conseil des affaires étrangères, lundi prochain à Bruxelles, Mme Ashton devrait nous apporter quelques éléments de réponse sur la relance de cette politique.