Nous proposons plus de transparence s'agissant des instruments financiers et de tous les établissements financiers, en France comme ailleurs.
Il y a de mauvaises surprises, et c'est mieux ainsi, car c'est comme cela que nous pouvons rétablir la confiance dans l'économie réelle, qui, elle, fonctionne bien.
En matière de gouvernance, nous avons aussi demandé une meilleure régulation au niveau des superviseurs bancaires.
Enfin, en matière de régulation, nous demandons que les agences de notation, en particulier, soient mieux régulées, parce que ce n'est pas le cas aujourd'hui en Europe.
J'ai toujours grand intérêt à vous entendre, monsieur le député Fabius. J'ai aussi intérêt à vous lire. En 2002, vous disiez ceci : « Nous devons donner le signal d'une démarche et d'une détermination pour obtenir la croissance la plus soutenue possible. » C'est ce que nous faisons, et nous le faisons avec la détermination de réformer la France. (Applaudissements sur les bancs du groupe de l'Union pour un mouvement populaire.)
(Plusieurs députés du groupe socialiste, radical, citoyen et divers gauche entonnent, sur l'air de Tout va très bien, madame la marquise : « Tout va très bien, tout va très bien ! ».)