Puis-je terminer, madame Mazetier ?
Par ailleurs j'ai souligné que vous auriez mauvaise grâce à m'adresser ce reproche. En effet, si la famille politique à laquelle j'appartiens n'a pas voté la loi de réforme des collectivités territoriales, c'est justement parce qu'elle n'assurait pas la parité. Vous seriez donc bien mal venus de me reprocher cela.
Cela étant, encore une fois, je vous présente mes excuses si je vous ai choqués. (Applaudissements sur les bancs du groupe UMP.)