En outre, chacun sait que, depuis 2007, nous menons, dans cet hémicycle, un combat sans merci contre les niches fiscales.
En 2007, nous avancions trois arguments en faveur de l'équilibre de nos finances publiques.
Le premier argument est d'ordre moral : autant un déficit d'investissement peut être légitime, dans la mesure où les dépenses engagées bénéficieront aux générations futures et contribueront à créer de la richesse, autant le déficit de fonctionnement est illégitime, dans la mesure où il hypothèque l'avenir des générations futures.