Je rectifie volontiers mon amendement : à la deuxième ligne du dernier paragraphe, il faut remplacer « arrête » par « peut arrêter », ce qui ménage une ouverture plus grande encore.
Et puis, mes chers collègues, je veux vous remercier une dernière fois, très sincèrement, de votre bonne volonté. Cela montre que cet hémicycle peut aussi se retrouver et débattre sereinement. Je n'oublie pas l'abstention bienveillante de certains collègues.
J'en tire la conclusion que tout ce qui nous unit nous grandit.