Monsieur le ministre, je vous remercie de cette réponse claire qui me satisfait ; elle satisfera également, je l'espère, tous les intéressés, à qui je la transmettrai. Ils pourront ainsi constater que le Gouvernement porte un intérêt particulier à leur situation spécifique.
N'oublions pas que, grâce à ces travailleurs frontaliers qui se rendent soit en Allemagne, soit en Suisse, les départements alsaciens connaissent un taux de chômage inférieur à la moyenne nationale. Il est donc tout à fait normal que la solidarité nationale s'exerce à leur égard.