Vous comprendrez, madame la secrétaire d'État, que le fait que la diminution du montant de subvention soit moins importante dans le pays chaunois que dans le reste de la région ne suffise pas à apaiser toutes nos craintes, car le problème des licenciements n'est pas réglé.
Aussi, je prends la liberté de soumettre à M. le ministre une proposition. N'est-il pas possible d'envisager, par exemple, le déblocage d'une avance remboursable sans intérêt, à échéance raisonnable, permettant à la MEF de disposer du temps nécessaire au rétablissement de ses finances et de conserver le potentiel humain indispensable au bon exercice de ses missions ? Il me semble qu'il s'agit là d'une question à étudier.