Madame la secrétaire d'État, notre souci, au plan local, est de parvenir à nous projeter dans un avenir à court terme. Or, dans moins de cinq ans, nous serons confrontés à un véritable pénurie de médecins dans le Trégor-Goëlo, territoire de plus de 100 000 personnes.
Par ailleurs, vous ne m'avez pas répondu sur la question essentiel de la pérennité des trois hôpitaux publics du secteur, lesquels connaissent de graves difficultés financières qui s'aggravent de jour en jour. Or, une offre de soins cohérente doit reposer à la fois sur la médecine libérale et sur les soins hospitaliers.