Madame la ministre, nous ne vous demandons pas de nous rappeler à tout instant votre souhait de voir le service public fonctionner et la diversité culturelle assurée. Je suis persuadé que telle est bien votre volonté. Et comme j'ai déjà eu l'occasion de vous le dire, j'aurais tendance à vous demander, comme dans Les Fourberies de Scapin : Que diable allez-vous faire dans cette galère ? Il suffit de voir le peu d'énergie que vous mettez à défendre certaines dispositions du texte pour se rendre compte que vous ne partagez pas totalement la position du Président de la République. De ce point de vue, les choses sont tout à fait claires.
Quant à vous, monsieur le rapporteur, je ne demande qu'à vous croire quand vous affirmez que le secteur public est différent du secteur privé.