À l'ANR, nous sommes très attentifs à la frontière entre nos actions et celles de l'Institut national du cancer. Le cancer est évidemment présent dans les préoccupations des chercheurs qui travaillent sur la technologie de la santé et les techniques d'imagerie. En biologie, la compréhension de certains mécanismes de l'évolution de la cellule et de l'interaction avec les contaminants relève de la science du cancer. Les « Labex » – laboratoires d'excellence – qui se consacrent à la biologie, comme l'Institut Curie, ont bénéficié d'équipements d'excellence – dits « Équipex ».
Nous avons donc assisté à travers les investissements d'avenir à une amplification de projets qui naissaient à travers les financements de l'ANR : grâce à ces investissements, des équipes disposent d'équipements qu'autrement elles auraient dû attendre pendant des années. Il n'y a pas d'incohérence entre l'action de l'ANR et les financements du Grand emprunt.