Je rejoins Mme Pau-Langevin quand elle évoque le problème du décrochage. Je veux toutefois rappeler qu'en termes de moyens, onze établissements de réinsertion scolaire fonctionnent à ce jour, et il y en aura vingt à la rentrée prochaine. L'État investit donc de façon importante pour essayer de sauver ces jeunes qui, en décrochant, risquent de devenir des délinquants.
Je rappelle également que, depuis deux ans, des équipes placées auprès des recteurs ont pour mission de travailler, avec les principaux et proviseurs, sur le suivi des jeunes qui décrochent. Plutôt que de toujours critiquer, il faut aussi savoir reconnaître que des choses importantes sont mises en oeuvre actuellement.