Monsieur Geoffroy, nous reconnaissons tous, ou presque, depuis longtemps, que la vidéoprotection peut être intéressante ; au reste, la quasi-totalité des villes de gauche ont installé des caméras sur leur territoire. Mais nous avons également toujours dit qu'une caméra ne pouvait pas remplacer un policier. Il faut que quelqu'un visionne les images et intervienne lorsqu'un fait répréhensible a été constaté.
S'agissant du FIPD, j'ai remis, avec notre collègue Goulard, un rapport sur la politique de la ville.