Pas du tout, c'est au contraire une perspective car je projette ce que vous êtes en train de faire et je pense qu'à un moment ou un autre, vous ne pourrez plus faire autrement que de remettre en cause la majorité pénale. Je prends date aujourd'hui. J'avais déjà prédit, voici un certain temps, que certains d'entre vous remettraient un jour en cause la peine de mort ! Cela n'a pas tardé : quelques semaines après, des députés proposaient pudiquement de rouvrir le débat.
Vous êtes emportés par votre propre logique répressive…