Nous remercions le rapporteur de prendre notre demande en considération. L'objectif n'était pas d'alourdir le travail du ministère comme du Parlement mais de vous faire comprendre la nécessité pour nous de disposer de ces éléments, d'autant plus que se pose la question des moyens. La mise sous surveillance électronique exige que des hommes et des femmes suivent les personnes. Pour cela, il faut des moyens. Il nous semble important, avant d'étendre le dispositif, de connaître la réalité.