Roselyne Bachelot-Narquin, ministre de la santé et des sports :
Pour ma part, j'y suis défavorable, car un tel dispositif aurait pour effet pervers d'amener les prescripteurs à choisir le produit à ASMR du niveau le plus élevé, ce qui n'est pas forcément la démarche thérapeutique la plus adéquate.