Cette définition s'inscrit en réalité dans un ensemble qui s'étend à tout le titre III.
Dans ma région, et je le dis après l'avoir auscultée d'une manière assez précise, beaucoup ignorent que leur patrimoine santé – je me distingue ici de Gérard Bapt, puisque j'évite le mot mathématique de « capital », lui préférant le mot de « patrimoine », beaucoup plus humain – est déjà largement compromis, faute pour eux d'avoir reçu une éducation nutritionnelle et comportementale.
D'autre part, il s'agit d'une région où, plus qu'ailleurs, pour des raisons historiques, je puis voir clairement que la santé, c'est aussi le mental et le social.
Je regrette donc, cher collègue Soisson, l'impulsion à laquelle vous avez obéi. Elle est peut-être due au fait que vous n'avez pas lu l'ensemble des amendements suivants, qui visent à faire en sorte que le titre III de ce projet de loi définisse à la fois des principes, un contenu, des objectifs et des moyens.
(L'amendement n° 224 est adopté.)