Une crise systémique est-elle encore envisageable alors que la question de la solvabilité des États se pose – en témoigne la note attribuée à la Grèce ce matin –, ce qui ne manque pas d'avoir des répercussions sur la confiance que les particuliers peuvent avoir dans les banques ? Les causes à l'origine de la crise aux États-Unis ne risquent-elles pas de produire à nouveau les mêmes effets ?
Comment régler le problème des emprunts toxiques souscrits par les collectivités ?
Enfin, quid de la titrisation des matières premières alors que, sur le marché de Chicago, ces dernières donnent lieu à des spéculations à échéance de quatre ans ?