Je parle des personnes qui ne résident pas sur le territoire national, sans considération de l'AME ou de tout autre dispositif.
Il faudrait prévoir un certain nombre de règles, mais également faire preuve de souplesse. Il arrive que nos services diplomatiques envoient des personnes étrangères, nécessitant des soins, à l'hôpital. Nous devons à leur égard adopter une attitude ouverte en nous situant dans une logique humanitaire.