Nous avons été nombreux, parmi les parlementaires, à nous alarmer de la disparition du Défenseur des enfants comme autorité indépendante spécifique, puisqu'il est désormais placé sous l'autorité administrative du Défenseur des droits. Face à l'aggravation de la crise et des inégalités et des violences qu'elle engendre, la France ne peut pas se priver d'une défense forte et indépendante des droits des enfants. Comment comptez-vous organiser la nouvelle institution que vous souhaitez représenter et quelle place y tiendra la défense des enfants ?