Je citerai à ce sujet le journaliste Thomas Friedman, selon lequel la montée des révolutions arabes a signé la première mort de Ben Laden. Les aspirations à des régimes démocratiques respectueux des droits de l'homme sont en train de mettre fin à la distinction entre le monde arabe et le reste du monde, vous avez raison. C'est d'ailleurs pourquoi nous n'avons pas encore vu la fin de l'histoire : le vent qui s'est levé est très fort et il soufflera très loin.