Dans l'une des premières phrases de sa conclusion, François-Michel Gonnot indique que « l'interdiction » ne sera que temporaire. S'agit-il de l'interdiction d'exploitation ou, comme nous l'avons décidée, de celle de la fracturation hydraulique ? En d'autres termes, devons-nous revenir sur notre vote en faveur de l'interdiction de la fracturation ? Existe-t-il d'autres techniques présentant une moindre incidence environnementale ?
Au début du rapport, il est indiqué qu'il a été procédé au cours de la dernière décennie à une trentaine d'opérations de fracturation hydraulique en France : dispose-t-on d'une analyse des conséquences de ces forages ?
Enfin, estimez-vous que le code minier révisé devra prévoir une interdiction absolue de délivrer des permis dans les parcs nationaux – tel celui des Cévennes – et dans les territoires en voie de classement au patrimoine mondial ?