Je veux soutenir cette évolution qui correspond à la quote-part de la France au sein de la BCE.
Monsieur de Courson, nous prêtons à des États, pas à des établissements bancaires ; il n'est donc pas question que la garantie soit rémunérée. La FESF rémunère déjà les emprunts à des taux qui permettent aux États de se refinancer.